Lorsque vous entendez le mot « hacker », pensez-vous automatiquement au pirate informatique malveillant qui vole votre identité numérique et vos données personnelles? Si la réponse est oui, alors je serai heureuse de vous apprendre qu’ils existent plusieurs types de hackers, passant de ceux qui contribuent à l’évolution du numérique et des technologies, les « bons hacker », à ceux que l’on appelle « cracker », soit les « méchants hacker ». Voici donc les différents types:
- Le hacker, ou le gentil, c’est celui « qui a atteint une maturité d’esprit ainsi que des qualifications suffisantes et approuvées par les autres, aide les victimes, aide à sécuriser les systèmes et combat contre la cybercriminalité, travaille typiquement dans une grande entreprise pour sécuriser les systèmes et réseaux, mais il peut très bien être un jeune passionné ayant appris sur le tas. »[1]
- De l’autre côté, le cracker, c’est celui qui « agit par contre à des fins qui lui sont propres, et qui sont illégales. Il vole des données, s’introduit illégalement dans les systèmes ou encore pirate des comptes. »[1]
- Entre les deux, on retrouve un autre type de hacker, un mélange des deux, soit celui qui « agit des fois pour la bonne cause, […] mais peut commettre de temps à autre des délits. Il s’introduit par exemple illégalement dans un système afin d’en prévenir ensuite les responsables des failles qu’il aura trouvées. Son action est louable, mais tout de même illégale ».[1]
- Ensuite, on retrouve les hacktivistes, (contraction de hacker et activiste) qui « agissent pour une cause souvent politique. Ils attaquent généralement des entreprises et non pas des utilisateurs particuliers. Vous pouvez y placer les groupes Anonymous ou encore Lulzsec. »[1]
- Enfin, les script-kiddies (les gamins qui utilisent les scripts) « sont tous ces jeunes hommes qui loin d’avoir compris les grands principes du hacking et l’éthique du hacker, se servent des programmes tout faits pour causer des dommages qui peuvent êtres très gênants. Ils se vantent aussi la plupart du temps en se faisant passer pour les créateurs des programmes qu’ils utilisent et ne sont donc pas appréciés dans les communautés. »[1]